Sunday, May 15, 2011

Passante

1 Comments:

Blogger V said...

[..] Dont le regard m’a fait soudainement renaître,
Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ?
Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard !
jamais peut-être !
Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
O toi que j’eusse aimée, ô toi qui le savais !

- è una delle mie poesia preferite

5/16/2011 11:10 PM  

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